INF 6107 Travail C – La diffusion des fake news

Dans le monde, selon le GSM Association, le nombre d’utilisateurs uniques de la téléphonie mobile est près de 6 milliards.

Pour la Banque mondiale, la téléphonie mobile offre un excellent accès aux systèmes bancaires de base, à la recherche d’un emploi, à l’accès à l’information et à la participation des citoyens à la vie démocratique.

Justement, l’accès à l’information est rapide, en temps réel, et les nouvelles peuvent être consultées dans plusieurs médias et langues.

Cette possibilité de regarder et de partager des informations est désormais très menacée en raison du grand nombre d’informations fausses ou de Fake News qui sont sur les réseaux sociaux, les blogues et les sites Web.

Les fausses informations sont facilement partagées et certains groupes obtiennent des avantages en introduisant une idéologie économique, politique ou sociale.

Ces fausses informations ne sont pas facilement identifiables, car elles utilisent des sources fiables ou des informations qui sont réelles mais altérées ou hors contexte pour les rendre vraies. Il y a également le problème suivant : dans de nombreux pays, il peut être considéré comme une censure d’essayer de limiter ces informations même s’ils sont totalement ou partiellement faux.

Selon une recherche du MIT (Massachusetts Institute of Technology), les fausses nouvelles plaisent à nos sentiments et à nos peurs, ce qui les fait partager plus rapidement et plus facilement que les vraies nouvelles. Selon cette recherche, les fausses nouvelles ont 70% plus de chances d’être partagées sur des réseaux comme Twitter.

La principale solution contre les fausses nouvelles est de cesser de les partager, car les réseaux sociaux ne sont pas intéressés par trouver une solution, parce que la diffusion de contenu entre les réseaux de contacts est le plus important est la principale source pour l’activation des publicités.

Une recommandation pourrait être la suivante : si une nouvelle suscite des émotions fortes, elle doit être vérifiée dans un autre média avant d’être partagée. Si les nouvelles mentionnent certaines sources, elles peuvent être facilement vérifiées.

En général, les chaînes d’informations partagées par WhatsApp ne sont pas très fiables, par exemple.

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